30 novembre 2004
astérisque et péril
Je connais des sous-bois où l'on se sent envahi par une funeste douceur, le bonheur de la mémoire, mais d'une mémoire sans souvenir. Le goût capiteux de la nostalgie vidée de tout regret, affranchie de tout remords. C'est une forêt silencieuse et repliée,...